Lors de la Coupe du monde 2018, certains journaux internationaux ont observé avec surprise que le Brésil était un pays métis sur l’herbe mais blanc dans les gradins. Certes, le Brésil des pelouses correspond plus sûrement à l’ethnie prédominante du Brésilien depuis que les footballeurs sont à l’origine des classes populaires. Cependant, ceux qui pouvaient se permettre de regarder les matchs en Russie, surtout dans un contexte de crise économique, ont démontré plus clairement leur ascendance européenne, blanche, qu’un mélange ethnique typiquement brésilien.
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